Lettre ouverte à Libération : « Je préfère un club juif anti-arabe qu’un club palestinien glorifiant les terroristes assassins de juifs »
Dans un article puant la haine du juif sépharade, le correspondant du journal Libération en Israël, Guillaume Gendron, connu pour son parti pris anti-israélien et ses fake news, grâce notamment à l’excellent travail de nos confrères d’Infoéquitable, se moque du rachat du Beitar Jérusalem par un mystérieux richissime émirati.
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« La vente à un riche Emirati de 50% du club israélien, plus connu pour ses chants anti-arabes que ses prouesses sportives, est un des actes les plus spectaculaires de la normalisation israélo-golfienne », nous explique t-il dans un article intitulé « Le Beitar Jérusalem, « club le plus raciste d’Israël »… racheté par un cheick ».
« Ce ne sont pas les trophées qui ont fait entrer le Beitar Jérusalem dans la postérité, mais deux chants de gradins. Ils résonnent depuis des décennies au Teddy Stadium comme dans les rues de la ville sainte lors des manifs d’extrême droite et des ratonnades de hooligans : « Mahomet est mort » et « Mort aux Arabes ». C’est donc peu dire qu’il faudra aux ultras du Beitar un temps d’adaptation pour se faire à leur nouveau propriétaire : un obscur cheikh émirati. Jusqu’à présent, le club n’a jamais laissé un joueur arabe porter le maillot noir et jaune orné du chandelier à sept branches. Mais depuis lundi, un Arabe – certes membre d’une famille royale du Golfe – en est le boss », poursuit-il.
Le journaliste, citant une de ses consoeurs israéliennes ayant réalisé un documentaire sur les supporteurs ultra du Beitar, souligne que ces supporteurs sont pour la plupart « des Séfarades vouant un culte à Netanyahu ».
En Europe, en Espagne plus particulièrement, l’Athletic Bilbao n’a quasiment jamais engagé de joueurs étrangers, préférant n’avoir que des joueurs d’origine basque, et pourtant ce club n’est jamais qualifié de raciste. Un club a le droit de choisir des joueurs répondant à la culture identitaire de sa ville, de ses supporteurs. Ce n’est pas du racisme, c’est du particularisme. Oui, il y a des chants hostiles aux musulmans scandés par les supporteurs du Beitar, mais le club a fait ces dernières années d’importants efforts pour en finir avec un comportement qui rend service à la diabolisation d’Israël dont le journaliste de Libération en est un dévoué partisan. Les efforts du club ont même été récompensés par le très modéré et sage président israélien Reuven Rivlin, lui-même supporteur du Beitar…
Où est donc ce Guillaume Gendron pour dénoncer la glorification du terrorisme par les clubs palestiniens ? Des clubs qui organisent des tournois au nom d’auteurs d’horribles attentats, qui déploient sur les terrains des banderoles avec le portrait de terroristes martyrs, des joueurs eux-mêmes impliqués dans des groupes terroristes, un président de la fédération palestinienne de football qui lui-même incite au terrorisme contre les Juifs….

L’équipe de football palestinienne Hilal al-Quds pose avec une affiche saluant le terroriste palestinien Mesbah Abu Sabih, qui a tué deux Israéliens lors d’une fusillade à Jérusalem le 9 octobre 2016 (Facebook)
Où est donc ce Guillaume Gendron pour dénoncer cela ??? Je le mets au défi de nous faire un article sur le sujet.
Par Yohann Taïeb – Le Monde Juif .info | Photo : DR
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