Publié le 26 Oct 2020

Les soirées internationales Schibboleth

Association Internationale Schibboleth – Actualité de Freud The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud   מכון אינטרדיסציפלינרי שיבולת , נוכחותו של פרויד

 

ZOOM : Paris – TEL AVIV

25-26-27-28-29- octobre-2020

&  20-21-22-23  -27 décembre 2020

18h30-21h45.. (France)- 19h30-22h45..(Israël)

Figures du mal

Heure française (Heure israélienne +1h)

SÉQUENCE 1

Dimanche 25 Octobre
Session 1 18h30-20h15Mal et identité : l’absolu dans le mal ?

Discutant: Michel Gad WOLKOWICZ

Conférence d’Ouverture de « Figures du mal. »
Michel Gad WOLKOWICZ — Comment devient-on des guerriers ou des assassins ?

Conférences d’introduction :
Frédéric ENCEL — Génocide : le mal absolu
Georges BENSOUSSAN — Hommage à Albert Memmi : La pensée de la domination et de la dépendance, la condition juive et l’aliénation diasporique.

Session 2 20h15 -22hMal et langage

Discutant: Frédéric ENCEL

Michaël PRAZAN —
Éric MARTY — René Char : de l’usage de Sade pendant la Résistance.
Cyril ASLANOV — « Formant la lumière et créant les ténèbres, donnant la paix et créant l’adversité (ū-bōrē rā‘); moi, l’Éternel, je fais toutes ces choses » (Isaïe 45:7): répercussions de l’expression ū-bōrē rā‘ « et créant l’adversité » dans la théodicée juive

Lundi 26 octobre

Session 3 18h30-20h« Pourquoi le mal ? », entre pulsionnel/narcissisme et un au-delà de la métapsychologie freudienne.

Discutante: Viviane CHETRIT-VATINE Évelyne CHAUVET  —   Masochisme de mort/Masochisme de vie (titre provisoire)                                                                                                                                                               Michel GRANEK — Le pont de la rivière Kwaï, le Diable et le Bon Dieu
Ilan TRÈVES — De qui sommes-nous des « mauvais objets »?, compulsion de répéti- tion dans la dyade analytique

Session 4  20h -22hPsychopathologie du mal vs haine, violence, cruauté, emprise, sadisme, destructivité ? Les traumatismes extrêmes… Mal de la conscience – Mal du corps.

Discutant: Ilan TRÈVES

Sam Tyano — Mal de corps – mal de conscience.

                      Jean-Jacques Moscovitz — Les pièges du mal                                                                           Patrick Bantman — Archives du désastre et du mal au service de la survie et de la transmission

Jocelyn HATTAB — Les mals saints

 

Mardi 27 Octobre,

                   Session 5  18h30-20hLe mal dans la pensée juive: élévation vs absolution/soumission? Le tikoum …

Discutant: Antoine MERCIER

Rivon KRYGIER — « Et Dieu dans tout cela ? Est-Il aussi responsable du mal ? »       Daniel Epstein— De l’arbre de vie à l’arbre de la connaissance – généalogie biblique du mal

Claude Birman — Les degrés du mal

 

Session 6  20h-21h30  Le mal et le libre-arbitre – Philosophie de la responsabilité, de la « liberté responsable», ainsi : – dans les religions monothéistes; – par delà le bien et le mal; – et de « la « banalité » à « l’impardonnable » ?

Discutant: Patrick BANTMAN

Isy Morgensztern — Le Mal dans les trois monothéismes

Marc COHEN —Le mal dans le livre de job Le mal dans le livre de job

Jean-Louis Repelski — Le mal masqué, un personnage en quête d’auteur

 

 

Mercredi 28 Octobre

               Session 7 18h30-19h45  Le mal, le fratricide, des figures bibliques

Discutant: Richard ROSSIN                                                                                                    Gaëlle Hana Serero— Parole et Silence comme modalités du Mal, d’André Neher à Georges Bataille

Sandrine Szwarc— Le mal ou la tentation de fratricide aux origines de notre civilisation (d’après Eliane Amado Lévy-Valensi)

Franklin Rausky— [Ahitophel: une figure biblique de conspirateur maléfique]

 

Session 8  19h45-21h00  – D’un flou des frontières du mal : croyance, transhumanisme …

                Discutant: Claude BIRMAN

Francine Kaufmann— Aux frontières du mal : entre victimes et bourreaux dans l’œuvre d’André Schwarz-Bart

Daniel Sibony — Quelle place pour le mal ? Et pourquoi Dieu le permet-il ?

Monette Vacquin — Transhumanisme, un mal dans ce bien qu’est la science

 

Session 9  21h-22h15  Médecine, soins et spiritualité / Le mal-maladie, la douleur, l’éthique bio-médicale

Discutant Marc COHEN

Jacques Wrobel — Mésusage des opiacés, ou le mal institutionnalisé dans un pays à la dérive

Paul Atlan — Transmission ; appartenance, procréation – la figure du mal, c’est aussi quand on empêche de savoir d’où l’on vient pour nous fermer le futur

Michèle LÉVY-SOUSSAN ZEITOUN —— Pensée de la finitude, pensée de l’incertitude, une scandaleuse et nécessaire liberté transgressive.

 

 

Jeudi 29 Octobre 2020

Session 10. 18h30-20h15Histoire, anatomie et psychopathologie de l’antisémitisme-conspirationisme, antisionisme

 

Discutant: Jacques TARNÉRO

Simon EPSTEIN — Quand le démon (nazi, etc…) se plaint d’être démonisé.

Daniel DAYAN —  Fabriquer les figures du mal. Une analyse des chaines de production.

Paul ZAWADZKI — Les éclipses de la compassion

 

Session 11  20h15-22h – le mal  en politique et géo-politique

 

Discutant: Daniel DAYAN

Emmanuel NAVON — État des Juifs et Juif des États : Israël, ennemi éternel des idéologies totalitaires

Denis CHARBIT — Le discours politique en crise : la dissolution des références communes

Richard ROSSIN — Le mal déguisé en bien

 

12 . PROPOS CONCLUSIFS du Colloque – 22h – 22h30.

Michel Gad WOLKOWICZ & Sam TYANO

Sous la direction de Michel Gad Wolkowicz,

le Comité scientifique et d’organisation:Sam Tyano, Thibault Moreau, Monette Vacquin, Claude Birman, Richard Rossin, Colette Leinman, Jocelyn Hattab, Michel Granek, Ilan Trèves, Viviane Chetrit-Vatine, Jean-Louis Repelski, Yolanda Gampel, Françoise Ouzan, Jean-Jacques Moscovitz, Patrick Bantman, Cyril Aslanov, Marc Cohen, Jean-Pierre Winter, Simone Wiener, Jacques Wrobel, Frédéric Encel, Pascal Bruckner, Cyril Aslanov, Évelyne Chauvet, Philippe Val;

Raphaël Draï  Zal, Michaël Bar Zvi  Zal , Nathalie Zaltzman  Zal, Benjamin Gross  Zal,

                                                             Figures du mal – Argument

 

« Si nous ne pouvons voir clair, au moins voyons-nous clairement les obscurités » (Sigmund Freud)

« Hier ist kein warum! » / « Ici, c’est pas de pourquoi! » : slogan nazi dans les camps de concentration ! (P. Levi, Si c’est un homme). Avec quoi résonne la pensée de Cl. Lanzmann d’une obscénité à chercher à comprendre le mal radical en actes !?

Pendant des siècles, le mal était au cœur de la pensée collective, nourrissant religions, mythes, légendes, contes, morale, sectes… La place que ce concept y tient révèle des différences essentielles entre les cultures. Ainsi, par exemple, le Judaïsme, dans l’exigence éthique de vérité, de justice, d’élévation intellectuelle, de la liberté responsable, d’une responsabilité de pensée et d’action, individuelle et collective propre au libre arbitre qu’engage la décision réciproque de l’Alliance, tend vers l’assomption de l’ambivalence et alors d’un travail de subjectivation et d’un indéfini de la pensée, le mal étant qualifié par l’acte. Tandis qu’a contrario, au nom de l’amour et de l’universel, le christianisme choisit la solution de la repentance et de l’absolution, passant par le clivage entre le Bien et le Mal, et leur personnification en Dieu et Diable, (Lucifer, Satan). Freud n’avance-t-il pas l’hypothèse d’un retour à l’idolâtrie en réaction à ce qu’engage « la religion du père », et singulièrement dans les autres monothéismes?

Paradoxalement, après que « le mal absolu » (Kant) a été conçu, organisé et réalisé industriellement, par la Shoah, l’extermination des Juifs, précisément porteurs de la Loi et du Livre, le concept du mal aura été progressivement essentiellement modifié, édulcoré : passage par « le mal radical » jusqu’à « la banalité du mal » et sa banalisation (cf. le dur débat Gershom Scholem – Hannah Arendt lors du Procès Eichmann à Jérusalem), jusqu’à devenir tabou pour une post-modernité relativiste, déconstructiviste, notamment dans les sciences humaines, conjuguant rationalité instrumentale et métaphysique de la subjectivation, croyance au progrès et idéologie du « natürlich » (cf. Heidegger), utilisées sur mesure par les idéologies totalitaires, les nouvelles religions séculières (R. Aron).

Les différentes formes de déni du mal se sont produites malgré la contemporanéité du terrorisme de l’esclavage, et des massacres de masse, conjuguées à une incapacité de nommer le mal, d’en désigner les responsables, ainsi que de penser la guerre et de la faire.

Le mal, auparavant combattu au nom du bien, l’est aujourd’hui au nom de la liberté, et plus précisément de droits dus, associant, en confusion de langues, politique, droit et sciences bio-éthiques et -techniques.

Aujourd’hui, la pandémie du Covid 19 suscite un trouble de réalité, un sentiment d’inquiétante étrangeté, actualisant sous les apparences du nouveau et de l’inconnu un mal ancien et récurrent, qui, d’être non maîtrisé, porte à l’homme une quatrième blessure narcissique (Freud), en ce qu’il entame l’esprit d’omnipotence et le déni de la mortalité et de la castration enveloppant certaines sociétés, et éveille, réveille ou révèle de bien vivaces fantasmes, mythologies, projections archaïques, délires (complotisme, antisémitisme) voire postures d’un fonctionnement psychique de masse tant individuel que de groupes (selon les cultures ou psychés collectives) ?

Cet évènement mobilise autant de réflexion que de régression, ou d’involution, à propos de questions civilisationnelles dans un moment déjà marqué par une crise de la temporalité, de la représentation, de la transmission, des institutions : la vie, la mort, l’universel, l’espèce, le rapport entre les générations, le travail, la nature, etc. – ainsi discute-t-on aujourd’hui sans vergogne de la sélection « naturelle » des personnes âgées… dont on s’émouvait seulement quelques semaines auparavant qu’elles témoignaient de l’eldorado du tout de nouveau possible de par la récente longévité de  la vie… Un retour du bouc-émissaire et du sacrifice humain ? Dont la fascination pour les mises en scène djhadistes actait déjà le fantasme archaïque.

« Nous vivons une époque particulièrement étrange. Nous découvrons avec étonnement que le progrès a conclu un pacte avec la barbarie », écrit Freud (L’Homme Moïse et la religion monothéiste, 1938). En 1933 juste après la publication de l’échange avec Einstein « Pourquoi la guerre? « , apprenant l’autodafé nazi, il ironisait : « Quel progrès ! Au Moyen-Âge on m’aurait brûlé, aujourd’hui, on se contente de brûler mes livres ! ». Pouvait-il pressentir ce qu’il en serait des siens, de  ses soeurs et de la quasi moitié de son peuple, déportés, assassinés, brûlés, réduits en cendre, exclus du monde et de l’espèce humaine, disparus de l’Histoire, seulement quelques années après, et malgré la connaissance du Mein kampf d’Hitler ?

Le mal est-il sans pourquoi ? (André Green, La folie privée). Décrire le mal, l’analyser ne laisse pas indemne, abîme ou fascine.

À cette tâche la psychanalyse prend sa part, bien que tardivement et difficilement, induisant encore des conflits internes aux institutions, par exemple à propos de la conception des traumatismes extrêmes. Comment distinguer, articuler mal, cruauté, sadomasochisme, mortifère, destructivité ? Le mal est-il un en deçà de l’intrication pulsionnelle pulsion de mort, pulsion de vie, narcissisme, pulsion sexuelle ? (cf. N. Zaltzmann, R. Rosenblum…). Que nous enseigne ici la psychopathologie avec l’expérience du deuil, la douleur mélancolique, l’angoisse anorexique, la position paranoïaque apathiquement perverse, certaines pathologies et phobies narcissiques, la névrose de contrainte obsessionnelle, la plainte hypocondriaque et sa haine du transfert… ?

Les philosophes aussi se sont attachés à repérer, qualifier, interpréter les figures du mal ; ainsi, emblématiquement, accomplissant, conjuguant les filiations de la pensée grecque et du judaïsme, après Hillel, Rachi, Saint Augustin, et les philosophes Platon, Nietzsche – Par delà le bien et le mal, Kant, Schelling, Spinoza, Adorno, Steiner, Hans Jonas, Camus, ..Vladimir Jankelevitch distingue et relie le mal d’absurdité et le mal de méchanceté (Le Mal, 1947), et interroge l’imprescriptible (Le pardonnable et l’impardonnable), s’étayant sur la notion de techouva juive (réparation). Plus récemmentZ. Bauman réfléchit la substitution de la responsabilité technique à la responsabilité morale…

Du mal, la littérature, le cinéma, les arts, tentent de former des représentations; certains s’attachent à en produire une authentique élaboration : Shakespeare, Gogol, Élie Wiesel, Zweig, Canetti, Thomas Mann, Primo Lévi, Kertesz, Bataille, Appelfeld, Schwartzbart, Bruckner – Lune de fiel, Kafka, Shelby, Houellebecq, Gary, Albert Cohen, Le Golem … Polanski –Rosemary’s baby-, Orson Welles – La soif du mal, Fritz Lang – M.le maudit, Charles Laughton – La nuit du chasseur, Prazan..; Goya, Garouste, Kupferman, Bacon… D’autres œuvres se révèlent plus ambiguës : A.Kiefer, Proust, Dostoïevski (cf. le grand mal, l’épilepsie et le parricide…) ; D’autres enfin (Sade, Genet, Céline, Baudelaire…) mettent en scène l’amour du mal, la jouissance esthétique, transgressive, mortifère et sexuelle du mal, dont les penchants refoulés ont assurés dans certains milieux le statut de référence culturelle.

Et bien sûr, les premières figures du mal se présentent peut-être aux médecins, aux cliniciens : avec la souffrance, somatopsychique, avec la maladie et emblématique cancer (le crabe, le Mal), les maladies dégénératives, avec les questions éthiques se posant de la naissance à la mort (notamment, histoire de la prise en compte de la douleur chez l’enfant, chez la personne âgée, le champ  palliatif…).

Schibboleth – Actualité de Freud, dans la continuité des thématiques et de sa démarche, depuis Psychologie de masse, aujourd’hui (2013) à La Transmission et l’Identité en question(s) (2020), en passant par États du symbolique et Figures de la Cruauté, aborde les « Figures du mal » aux prismes des regards croisés de la psychanalyse et de la psychopathologie, du droit, de l’histoire, de l’anthropologie et de la philosophie, des sciences bio-médicales, humaines, sociales, (géo-)politiques, de la pensée juive, et des théologies religieuses, de l’analyse des discours, des images, des idéologies et des médias, de la littérature et des arts plastiques et cinématographiques…, avec des intellectuels, des auteurs, des praticiens de référence et de filiations diverses.

Michel Gad Wolkowicz& all. Thibault Moreau, Monette Vacquin

SÉQUENCE 2.   Congés d’hiver à Paris, fin décembre

  • Dimanche 20 décembre
  • Session 13. 18h30 – 20h15  —  Le BDS et la détestation d’Israël: de quoi est-il le nom?
  • Discutant : André SENIK En partenariat avec la Revue des deux Mondes, de Valérie TORANIAN

Joël KOTEK, Alain SORIANO,  —

Philippe VAL, Valérie TORANIAN (S/s res.)

Isabelle De MECQUENEM, Georges BENSOUSSAN, Marc NACHT,

  • Session 14 20h15 – 21h30  —De la banalité du mal à la complexité de la pensée perverse
  • Discutant : Maurice IFERGAN Pierre LURÇAT — Banalité ou radicalité du mal ? Hannah Arendt à Jérusalem Jacques TARNERO — [Énoncer le Mal avec les mots du Bien: figures de la bonne conscience — Les bijoux complexes du patrimoine culturel français : d’Alain Badiou, Stephane Hessel à Edgard Morin…]                                                                                                                                                         Yves MAMOU — le lent cheminement de la bonne conscience européenne

2) – Lundi 21 décembre

Session 15   18h30-20h : « Les secrets de Monsieur Chouchani »

Michaël GRYNSZPAN — « Les secrets de Chouchani » — Extraits du film de Michaël GRYNSZPAN (2020) suivi d’une conférence-débat

Shmuel TRIGANO —

Session 16   20h -21h45-    le diable et la connaissance / Droit et Judaïsme

Discutant: Éric MARTY

Jacques AMAR — Dieu est mort, le diable est dans les détails

Alexis NOUSS-NUSELOVICI —

Thibault MOREAU —L’arbre de la connaissance du bien-et-mal ; intrication, discernement, décision

3)    Mardi 22 décembre –

Session 17 .  18h30- 19h30  La scène du mal, le mal mis en scène.

Discutant: Jean-Jacques MOSCOVITZ

Yehuda Moraly — La glorification du Mal sur la scène française

Colette LEINMAN — L’entonnoir renversé ou l’artiste aux bavures de lumière

Israël-Bernard FELDMAN —  La victime est-elle coupable?

– Session 18.  19h30- 20h45   Anthropologie du mal

Discutant : Thibault MOREAU

Viviane CHETRIT-VATINE & Marcel CHETRIT — Des pulsions sexuelles de mort aux pulsions sexuelles de vie  :  « Je trahirai… Demain »  (Une introduction psychanalytique au poème de Marianne Khon / écho pictural de Marcel Chetrit)

Ann-Belinda PREIS — Du Mal en anthropologie. Quand comprendre l’autre prend fin

Jens BOEL — Nunca mas ! Mémoire, vérité et justice

4) – mercredi 23 décembre

Session 19  18h30- 19h30— Culture/Littérature/Théâtre/Cinéma/Art / Musique

Discutant: JEAN-LOUIS REPELSKI

Philippe GUMPLOWICZ —

Gérald GARUTTI — Le héros face au mal

Marie-Hélène INGLIN-ROUTISSEAU— Better to reign in Hell than serve in Heaven

 

–     Session 20   19h30- 20h30   Histoire / Philosophie

Discutant: Alexis NUSELOVICI-NOUSS

Michal GANS-AVIDAN — Treblinka, no man’s land des figures du mal : paradigme ou paradoxe

Françoise OUZAN — Le réfugié juif comme figure du mal dans les États-Unis d’après-guerre.

Béatrice GONZALÈS-VANGELL —

5)    Dimanche 27 décembre    –

Session 21  18h30- 20h30    Projection du mal : quelle économie psychique?

Discutant: Michel GRANEK

Jean-Pierre Winter —  » … le mal habite le cœur de l’homme  depuis son enfance » (Genèse ; 8,21)   André ABOULKHEIR —  L’ennemi intérieur                                                                                                 Yolanda GAMPEL —                                                                                                                                          Éva WEIL — Traces du mal                                                                                                                            Didier Lippe — Shylock, ou la figure du Mal ?

–  Session 22  20h30 – 21h45     Une clinique du mal et de la violence

Discutant: Sam TYANO

Marina LITINETZKAIA — Mal et maladies mentales : autour de la dangerosité et de la question de la responsabilité

Simone WIENER — Le mal et son goût, une impossible forclusion

Sylvie BENZAQUEN — Que nous enseigne la clinique psychanalytique sur la vie psychique dans son rapport au mal?

23 – Propos Conclusifs 21h45- 22h

Sam TYANO & Michel Gad WOLKOWICZ

Et :

Ofer LELLOUCHE — […], David MENDELSON, Ilan GREILSAMMER —[…], Michal GOVRIN — […], Marc-Alain OUAKNIN[…], Maud TABACHNIK[…], Raphaël YERUSHALMI[…]

MODALITÉS D’INSCRIPTION

Les Soirées Internationales de Schibboleth se dérouleront par téléconférence via le logiciel Zoom ; pour y assister, il suffit de s’inscrire suivant les modalités indiquées ci-dessous. Il sera possible aux participants d’adresser des questions aux intervenants pendant le déroulement des sessions ; des réponses pourront y être apportées dans le temps de discussion.

Une fois l’inscription entérinée par l’acquittement d’une participation aux frais, chaque participant recevra un « code zoom » valable uniquement pour une soirée ; ce code permettra en outre à chacun de voir ou de revoir l’enregistrement de la ou des soirées à laquelle ou auxquelles il se sera inscrit, en exclusivité pendant deux mois : passé ce délai de deux mois, ces enregistrements seront accessibles à tout public via le site Akadem.

Pour la première séquence (25, 26, 27, 28 & 29 octobre 2020), l’inscription se fait :

en France  :

Écrire à <secretariat@schibboleth.fr>

Acquitter une participation aux frais

– 12€ pour une soirée ; 40€ pour l’ensemble des soirées de la première séquence (les 25, 26, 27, 28 & 29 octobre 2020) –

  • soit via le site www.schibboleth.fr , en y sélectionnant la case « montant libre » pour indiquer le montant choisi ;
  • soit en adressant (au moins une semaine avant le début de la séquence de conférences) un chèque à l’ordre de Association SCHIBBOLETH,à l’adresse : Thibault MOREAU, Secrétariat de Schibboleth – Actualité de Freud, 2 rue Marie Stuart, 51100 REIMS.

en Israël :

Écrire à Jocelyn HATTAB <hattabjocelyndr@gmail.com>

Acquitter une participation aux frais – 40NIS pour une soirée, et de 160NIS pour l’ensemble des soirées de la première séquence (les 25, 26, 27, 28 & 29 octobre 2020) – par transfert bancaire à « Banque Hapoalim – code banque 12 • Agence Ramat Aviv Code 568 • Compte N° 270010 », au nom de  » מכון שיבולת אינטרדיציפלינרי  » ou simplement « SCHIBBOLETH »

Imprimer le bordereau de versement et l’envoyer par courriel à <hattabjocelyndr@gmail.com>

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